C'est ici ou la mer
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Beyrouth, année 1956. Chez les Ajami, une famille juive de la petite bourgeoisie, la vie suit son cours tranquille, repliée sur les rites, les visites des voisins, du rabbin, les discussions bibliques, à peine influencée par les tensions qui commencent à couver. Cette petite communauté se sent encore chez elle dans ce pays multiple, se tenant à l’écart de la politique.
Seul le fils rêve d’un ailleurs, de se mêler aux autres, chrétiens et musulmans, soutenu en cela par un cousin quelque peu marginal et qui a rejeté, par conviction ou par provocation, les traditions familiales et religieuses. Il rêve surtout d’aller en France y poursuivre ses études. Des décennies plus tard, après la spirale de la violence et les bouleversements subis par le Liban, il recherche, mélancolique, à travers une vieille photo de famille, les traces volatiles de son passé, de lui-même, et d’un pays ancien qui est si loin.
Seul le fils rêve d’un ailleurs, de se mêler aux autres, chrétiens et musulmans, soutenu en cela par un cousin quelque peu marginal et qui a rejeté, par conviction ou par provocation, les traditions familiales et religieuses. Il rêve surtout d’aller en France y poursuivre ses études. Des décennies plus tard, après la spirale de la violence et les bouleversements subis par le Liban, il recherche, mélancolique, à travers une vieille photo de famille, les traces volatiles de son passé, de lui-même, et d’un pays ancien qui est si loin.
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English
Albert Jamous est né en 1937 à Beyrouth, de père et de mère syriens. En 1957, il remporte le concours international Hachette de littérature et obtient une bourse pour se rendre à Paris où il suit des cours de philosophie à la Sorbonne.
Parallèlement, il est le correspondant du journal libanais L’Orient. Durant plusieurs années, il enseigne la philosophie à Paris avant de suivre sa femme, enseignante de lettres classiques et écrivain, à l’île de La Réunion. Il y occupera le poste de documentaliste et bibliothécaire au rectorat.
Albert Jamous est décédé le 17 mars 2015. Son roman était encore en cours d’impression.
Parallèlement, il est le correspondant du journal libanais L’Orient. Durant plusieurs années, il enseigne la philosophie à Paris avant de suivre sa femme, enseignante de lettres classiques et écrivain, à l’île de La Réunion. Il y occupera le poste de documentaliste et bibliothécaire au rectorat.
Albert Jamous est décédé le 17 mars 2015. Son roman était encore en cours d’impression.
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Albert Jamous est né en 1937 à Beyrouth, de père et de mère syriens. En 1957, il remporte le concours international Hachette de littérature et obtient une bourse pour se rendre à Paris où il suit des cours de philosophie à la Sorbonne.
Parallèlement, il est le correspondant du journal libanais L’Orient. Durant plusieurs années, il enseigne la philosophie à Paris avant de suivre sa femme, enseignante de lettres classiques et écrivain, à l’île de La Réunion. Il y occupera le poste de documentaliste et bibliothécaire au rectorat.
Albert Jamous est décédé le 17 mars 2015. Son roman était encore en cours d’impression.
Parallèlement, il est le correspondant du journal libanais L’Orient. Durant plusieurs années, il enseigne la philosophie à Paris avant de suivre sa femme, enseignante de lettres classiques et écrivain, à l’île de La Réunion. Il y occupera le poste de documentaliste et bibliothécaire au rectorat.
Albert Jamous est décédé le 17 mars 2015. Son roman était encore en cours d’impression.
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\"Le souci de mettre par écrit les souvenirs avant qu\'ils ne se dissolvent avec l\'âge et la mort rend précieux le texte de Jamous, sans compter que l\'ouvrage est indubitablement écrit avec talent et humour, et avec un savoir-faire dans la manière de camper des personnages hauts en couleurs, ceux de la famille et de la communauté juives, les tantes incontournables, babillardes et marieuses professionnelles, les oncles bavards et qui ont des idées arrêtées sur tout et surtout sur la politique, le médecin de famille, le rabbin, tous croqués avec leurs tics, leurs manies et leurs lubies…\" by Charif Majdalani, in \"L\'Orient littéraire\"
